
Le Musée
Ouverture du musée:
du 15 juillet au 15 août,
les mardis après-midi de 15 h à 18 h
- pour les groupes dès 8 personnes,
sur rendez-vous,
tél. 06 43 77 81 50 ou 04 70 06 13 12
Entrée 2 € par personne, gratuit jusqu’à 12 ans.
Le Musée de l’âne
C’est :
Une quantité d’objets hétéroclites autour de l’Âne
L’atelier du charron
La collection agraire
L’ancien four a pain
Les ânes bourbonnais
Destiné à un public familial, créé il y a 10 ans, il s’enrichit chaque année grâce à la participation des bénévoles de l’association.
Les nouveaux bâtiments pourront accueillir ce dernier au travers d’une salle d’exposition d’environ 80 mètres carrés. Cette vitrine consacrée à l’âne se compose d’objets hétéroclites sur l’âne, de panneaux explicatifs, de matériel agraire (certaines pièces uniques ou très originales conservées et remises en état) , de jeux ludiques pour les plus jeunes.
Un thème différent pourra être mis en place chaque année : collection de bâts, reconstitution de chambre paysanne, collection privée, etc..)
Cette salle sera mise à disposition pour accueillir hors saison touristique des expositions. La salle de réunion située au 1er étage pourra être louée pour des réunions, réceptions ou séminaires de groupe jusqu’à 50 personnes.
Dans le corps de ferme, sont installés carrioles, tombereaux, charrues et autres outils de travail. Une collection amassée en douze ans, grâce aux dons et par des achats. « Le but premier de la Maison de l’âne était de récupérer tout ce matériel qui allait être détruit. »
L’intérêt principal de La Cornille est son terrain de deux hectares. « L’idée, pour la saison prochaine en juin, juillet et août, est d’atteler les ânes, de faire jouer les enfants », avec des balades autour de l’étang.
L’autre volet du projet est professionnel et il sera confié à l’Âne bourbonnais. Le syndicat d’éleveurs pourra organiser « des journées de formations, des concours, des reconnaissances ponctuelles. L’idée est que la race ne s’éteigne pas et de développer le travail lié au maraîchage. Le syndicat pourra proposer des formations en vétérinaire ou en maréchalerie. Les éleveurs sont en demande pour tailler les sabots des animaux, mais les maréchaux-ferrants sont pas mal pris par les professionnels.
Les projets sont là ; les moyens aussi : il ne reste plus qu’à faire vivre le site.